Bangkok. Samedi, 10h30. Embarquement pour Kathmandu. Vol sans histoire. Sitôt arrivés, nous sommes plongés dans l'ambiance. Un minuscule van nous attend, des vaches, que rien ne perturbe, regardent nonchalamment les voitures passer.
Béa, Didier et Patricia arrivent quelques heures plus tard, en direct de France. Pour les habituer progressivement au changement de culture, nous allons faire un tour au Garden of Dreams. Un havre de paix dans la trépidante Kathmandu. D'influence grecque, des fleurs, des parterres multicolores, ...
..., des arbres bicolores, de jolies sculptures, bref, tout est beau. Surtout, tout est calme!
La nuit tombe, nous déambulons dans les rues à la recherche d'un restaurant que nous ne trouverons pas. Au hasard, nous nous jetons notre dévolue sur une gargote délicieuse. Ca sera notre cantine de quartier.
Dimanche. N'ayant pas de décalage horaire, nous nous levons normalement, nous laissant le temps de croiser le blanchisseur, d'admirer les fleurs. Oscar nous rejoint. Oscar a décidé de se laisser pousser les cheveux. Patients, nous admirons sa coupe ;)
Puis c'est le choc. Nous abandonnons le calme de notre hôtel pour nous retrouver dans le capharnaüm de la ville. Une horde de pousse-pousse attend le client, des rues encombrées, de la poussière, beaucoup de poussière.
Des chèvres se dorent au soleil, une balançoire improvisée, des maisons en torchis, ...
..., des statues et leurs offrandes, la rivière aux odeurs nauséabondes, des femmes en sari coloré, le yoni (associé à Parvati) et le lingam (associé à Shiva), de la poussière, ENORMEMENT de poussière!
Nous arrivons au but de notre balade: Swayambhunath, temple bouddhiste plus connu sous le nom de Temple aux singes.
Nos premiers rouleaux de prières!
Au sommet, nous sommes accueillis par un énorme vajra, représentant l'indestructibilité, celui qui détruit l'ignorance. Un singe se régale après avoir chipé des fraises à une petite fille. L'énorme stupa blanc nous observe de ses yeux, trônant au milieu d'une myriade de mini stupas. Sa base blanche représente la terre, les 13 cercles dorés représentent les 13 étapes à passer afin d'atteindre le nirvana.
Des commerçants bordent la place centrale, des bouddhas, boudhisme et hindouisme se mélangent harmonieusement.
Il est temps de redescendre et de nous diriger vers notre prochaine étape: Durbar Square.
Le "bol chantant" se révèle être une véritable thérapie. De part ses vibrations, il remet en place les énergies. Bibiche et les enfants regardent un gong de plus de 4kg, Béa repartira avec un petit bol. Nous retournerons dans ce magasin pour y acheter deux gros bols et un gong!
Nous déambulons dans les rues, croisons de drôles de chargements, ...
..., pour arriver à Durbar Square, ancien lieu de résidence du roi au milieu duquel prône une multitudes de temples hindouistes et bouddhistes. Petite pause déjeuner avant de partir explorer les lieux.
Nous commençons par le palais de la Kumari, le Kumari Bahal. Véritable déesse vivante, la Kumari est issue de la caste des bijoutiers Newari. Agée d'au moins quatre ans, elle doit répondre à 32 critères physiques tels que la couleur des yeux, la forme des dents, ... l'étude de son horoscope est lui aussi très important. Une fois les candidates sélectionnées, elle doivent affronter dans le noir 108 danseurs fichés de têtes de monstres. La petite fille qui saura rester calme doit encore subir un ultime test: choisir les habits de la précédente Kumari. Une fois toutes les conditions requises, la Kumari part s'enfermer dans son palais. Elle ne fait que de rares sorties chaque années. Son règne prend fin à sa puberté ou à la moindre égratignure, son corps devant être pur. Elle fait de temps en temps quelques apparitions à la fenêtre de son palais, nous aurons la chance de l'apercevoir!
En fin d'après-midi, quand les lumières deviennent chaudes, la place s'agite, un marché improvisé s'installe au pied des différents temples.
La statue d'Hanuman, dieu hindou au visage de singe, garde l'entrée du Palais Royal. Son visage a disparu sous les multiples couches d'offrandes de poudre orange et rouge.
Le Palais n'est qu'une succession de cours. Oscar en admire la sculpture du bois.
Une représentation de Shiva dans sa forme terrifiante: Kala Bhairab. Un puits où les habitants viennent faire la queue pour remplir leurs bidons d'eau. Des yeux, partout des yeux nous regardent: ceux de Bouddha.
Lundi. Nous partons pour le jardin botanique de Godawari, situé dans le sud de Kathmandu. Jardin japonais, jardin de fougères, pièces d'eau, serre, roseraie, ... tout y est, enfin sur les panneaux!
Un calme exquis, certains en profitent pour faire la lessive, l'étang du couronnement, la serre royale, ...
..., les pépinières, un temple, ... à la sortie, une véritable cacophonie, des centaines d'écoliers viennent y passer la journée. Nous leur laissons sans hésitation la place!
Arrivés à Patan. Nous déambulons dans les rues qui se préparent au Festival Rato Machhendranath, le Dieu de la pluie. Patan a aussi sa Kumari. Nous apprendrons qu'il y a trois Kumari au Népal, la troisième se trouvant à Bhaktapur.
Durbar Square, la cloche Taleju, des peintures murales qui font bien rire Elliot et Oscar!
Patan, la statue du roi Yoganarendra Mala, surmontée d'un cobra, se niche en haut d'une colonne. La légende dit que tant que l'oiseau posé sur le cobra restera, le roi reviendra dans son palais. Si l'oiseau venait à s'envoler, les éléphants du temple Vishwanath descendraient boire à Manga Hiti. L'oiseau est toujours là, les éléphants aussi, mais le roi n'est toujours pas revenu. Une autre représentation de Shiva en Bhairab, un mandala de sable, et toujours la queue pour remplir les bidons d'eau.
Nous reprenons la route en direction de Bungamati, village tibétain, célèbre pour ses sculpteurs sur bois et son temple dédié à Rato Machhendranath, Dieu de Patan. Et toujours la corvée d'eau.
Certains improvisent des tables de ping pong, une dispute de moutons, d'autres tricotent, et nous les regardons.
Mardi. Nous allons rendre visite à Boudhanath, l'un des plus grands stupas d'Asie.
Situé sur une place ronde bordée par une multitudes de marchands du temple, une vive activité y reigne.
Offrandes de fleurs, des lampes à beurre brûlent, un moine reste figé telle une sculpture de pierre, de délicieuses odeurs d'encens.
Et puis le flot continuel des fidèles qui viennent tourner les moulins à prières en récitant des mantra. Om Mani Padme Hum, l'un des principaux mantras du bouddhisme tibétain. Il permet au fidèle d'accéder à une certaine pureté de l'esprit. On lui attribue aussi un puissante protection contre toutes sortes d'influences négatives.
Déambuler dans le sens des aiguilles d'une montre. Ce que nous faisons, nous nous joignons à ce rite et tournons les 147 moulins, laissant s'envoler les prières.
Certains méditent, d'autres font des salutations, pendant que des offrandes crachent leur fumée d'espoir.
Nous nous rendons à Pashupatinah, temple hindouiste d'une grande importance au Népal, situé au bord de la rivière sacrée Bagmati. Une allée de marchands de bondieuseries très colorée mène au temple. Il faut traverser un pont qu'un boeuf a eu la bonne idée de squatter sous l'oeil perplexe de certains.
Pashupatinah est le lieu des crémations. De gros piliers de pierre sur lesquels des buchers sont installés. De la fumée, une odeur de mort.
Les familles se posent en attendant leur tour, certains font des offrandes au Linga, d'autres s'amusent avec un singe.
Nous croisons Hanuman, vous vous souvenez? le dieu à visage de singe. Quelques sadhus.
Un nouveau bucher se prépare, des offrandes, certains cherchent dans la rivière des trésors improbables.
Nous repartons mal à l'aise, direction Bhaktapur, ville médiévale par excellence.
Une ville rouge, toute en brique. D'admirables statues gardent les entrées des maisons, du rouge en guise d'offrande sur les cornes d'un éléphant.
Des temples partout, des ruelles étroites, et toujours la corvée d'eau sous les yeux protecteurs de Bouddha.
Nous arrivons dans le quartier des potiers. Plusieurs poteries sèchent au soleil. Peu de variétés aussi bien dans les objets que dans les couleurs: des petites coupelles pour les offrandes, des tirelires ou des plats culinaires.
En contrebas, le four. Les pots sont entassés, puis recouverts de paille au plus grand bonheur des moineaux du coin. Le feu couve durant trois jours.
Balades au hasard des rues.
Mercredi. Nous prenons la route en direction de Pokhara. Grandes embrassades entre Bibiche et son ami l'hôtelier. Six heures de route. Quelques arrêts, des marchands le long de la route, un coq, de la poussière, beaucoup de poussière, pour finalement arriver à Pokhara juste avant l'orage.
Orage bienvenue car il nous permettra d'admirer le Machhapuchhre haut de 6,993 mètres. Petite balade en bord de lac où la ville s'étire tranquillement.
Dégustation d'un lassi avec vue sur le lac, les couleurs du soir arrivent pour notre plus grand plaisir. Oscar et Patricia ne nous mijoteraient-ils pas quelque chose?
Jeudi. Aux aurores, nous nous levons tous afin d'admirer le lever de soleil sur le Machhapuchhre. Tout simplement grandiose. Petit déjeuner. Une myriade de parapentes de toutes les couleurs.
Nous partons grimper le World Peace Stupa. Ca commence doucement le long du lac, quelques ponts à traverser, les rivières font office d'immenses lavoirs.
Puis c'est la montée infernale, on croise des femmes chargées de petit bois, la vue se dégage, ...
..., pour arriver finalement au sommet à 947 mètres. La ville s'étend en fait beaucoup plus loin dans les terres. Malheureusement, pas de vue sur l'Annapurna.
Tour du stupa par la gauche, toujours par la gauche. Quelques scènes de la vie de Bouddha, petite pause, ...
..., avant de redescendre sur la ville. On prendra la bus, ce qui s'avérera beaucoup plus rapide.
Elliot et Oscar ont un air louche! Des peintres de mandala. Rudes négociations pour Oscar qui s'achète un fossile.
Vendredi. Petite balade le long du lac. La couleur des parapentes nous attire, mais moins que les chèvres qui se laissent gentiment caresser.
Samedi. Réveil aux horreurs pour aller voir le lever du soleil sur les Anapurnas à Sarangkot! Trop de monde, on se paye le luxe d'une terrasse privative avec thé à volonté! C'est trop chouette!
Et puis le miracle quotidien se produit: le soleil lèche de ses rayons les montagnes, les monstres se réveillent! C'est magique de grandeur!
Puis commence le ballet des drôles de petits objets volants.
Yves en grande conversation avec un vieux monsieur qui venait de réaliser son rêve de voir l'Anapurna! Petit déjeuner dans un paysage incroyable.
Pendant que Béa rentre en taxi à l'hôtel, Didier et Patricia redescendent en ville à pied, nous prenons la voiture pour se faire une balade vers Dhampus, début du circuit menant au camp de base de l'Anapurna. Ca commence par un très grand escalier.
On traverse des champs, les fermiers labourent les champs, un calme olympien.
On croise un chat, quelques moines, des vaches, et des marches, toujours des marches, ...
..., mais l'effort est largement récompensé. Dhampus, 1650m, d'un côté, l'Anapurna, de l'autres les rizières en terrasse.
Pause photos, ...
..., traversée du village, pour une autre pause, ...
..., et finalement, descendre, des marches, encore et toujours des marches.
Arrêt au temple de Bindhyabasini, très fréquenté le matin, où les sacrifices sont habituels, avant de rejoindre Béatrice, Didier et Patricia pour aller faire un ....
..., tour de pédalo! Depuis le temps que les enfants le demandaient! Elliot et Oscar aux commandes, direction l'île sur laquelle se situe le temple Vahari Mandir, temple dédié à Vishnu.
Beaucoup de fidèles, des amoureux, joli petit temple, des cloches, une délicieuse odeur d'encens.
Oscar et Elliot se sont fait un copain. Retour sur la terre ferme. On ne se lasse pas d'admirer le coucher de soleil depuis le pédalo, quelques corbeaux nous accompagnent.
Bibiche nous fait la pose à côté d'une geisha. On n'en finit pas de se régaler avec le coucher de soleil. On croise un fast-food!
Dimanche. Pas de chance, jour de grève générale pour manifester contre les élections excluant plusieurs partis marginaux. Pas de bus, pas de taxi. Qu'à cela ne tienne, nous irons à pied visiter le vieux Pokhara. Nous croisons quelques vaches dans les rues désertes. Les magasins sont fermés, un vendeur de poids chiches, ...
..., quelques manifestants très pacifiques. Toutes les devantures sont fermées. La vieille ville a une allure de fantôme.
De vieilles maisons en brique.
Petit arrêt au temple Bhimsen, vieux de 200 ans et dédié au dieu du commerce Newari.
Un vendeur de glaces sur le bord de la route, station service fermée, ...
..., rues désertes, un caméléon traine avec son copain dans un jardin d'eden. Et toujours les yeux de Bouddha!
Lundi. Nous repartons sur Kathmandu. En attendant l'avion, on regarde les photos, les petits avions décoller, ...
..., on erre dans les boutiques!!
Embarquement, et là, le toit du monde se révèle enfin! La visibilité n'est pas très bonne, une brume nous suivra jusqu'à l'arrivée, où surprise! Un avion de Drukair, compagnie nationale du Bhutan, est posé sur le tarmac!
Récupération des valises qui arrivent en tracteur, s'il vous plait!!! Minibus direction Bhaktapur.
Sur la place, un char est en pleine préparation pour le nouvel an bouddhiste prochainement célébré.
Des offrandes, Garuda se retrouve le nez tout rouge, des sacrifices, des plumes collées sur un autel, une chèvre qu'on égorge. C'est très rouge!
Au détour d'une rue, on nous offre un breuvage, certainement de l'acool de riz. Il faut bien arroser la fin de l'année!
On se retrouve dans le quartier des potiers, le four est vide! Et toujours la corvée d'eau.
Magasin de khukuri, couteaux à lame courbe utilisé par les Gurkhas, équivalent de la Légion étrangère pour l'armée anglaise. Visite des temples du Palais Royal et de sa célèbre citerne datant du 17ème siècle, la Naga Pokhari. Visite d'une école bouddhiste de thankas.
Une teinturerie, apparemment le noir se porte bien. Un coq, un bébé grimé, peut être une future Kumari? Une drôle de façon de charger les cailloux: à trois, c'est mieux!
Des graines de coriandre qui sèchent paresseusement sur un trottoir, des sculptures à tous les coins de rues, devant les maisons. Puis nous arrivons à la célèbre fenêtre du paon!
Superbe! Tout en bois sculpté, d'un raffinement extrême! Elliot et Béa montent à l'étage d'une maison voisine pour en admirer les détails.
Un couturière de rue sous l'oeil observateur d'une poule, des piments qui sèchent, ..., et toujours la corvée d'eau.
Quelques photos prises au hasard dans la rue!
Des orfèvres qui confectionnent des pots, toujours pour la corvée d'eau. Une réplique de la fenêtre du paon. Mais c'en est trop pour Didier qui nous fait une petite "indigestion"! Retour précipité à l'hôtel.
Nous sortons de la vieille ville pour essayer le meilleur des curds: le juju dhau. Excellent! Et pour terminer la journée en beauté, nous croisons une fanfare.
Mardi. Défilé général sur la grand place sous le regard très étonné d'un corbeau!
Nous allons à la recherche des deux plus grands linghams du Népal! Nous ne serons pas déçus: énormes les linghams, surtout qu'ils sont entourés de dizaines de plus petits, et d'un bas relief de Shiva nu, apparemment très content!
Un temple, une tête de chèvre en offrande, des sculptures rougies par les offrandes, et toujours la corvée d'eau.
Nous passons par la maison de Toni Hagen, géologiste suisse. Une de ses photos montre la place du Boudhanath au début des années 70, isolé au milieu des champs!
C'est la fin du voyage pour Bibiche, il rentre au Vietnam. Visite des appartements du Palais Royal. Belle vue sur Durbar Square.
Un marché de rue, du poisson, des offrandes, et toujours les longues files de jerricans de la corvée d'eau.
Un vendeur de momos, délicieux raviolis vapeurs. Didier tente une petite sortie. Le char se pare de tous ses atours.
Mercredi. Ce matin, Béa et moi sommes réveillées très tôt! On en profite pour se balader. Un boucher dépèce un boeuf à côté d'un chien qui fait la sieste, un corbeau semble plus interessé. Des poules attendent patiemment, des fleurs pour les offrandes, et le char qui semble terminé. Il est temps, la fête commence cet après-midi.
Puis c'est le départ, direction Banepa. Nous passons devant une immense statue de Vishnu. Visite du temple de Chandeshwari.
Une gigantesque fresque de Bhairab, représentation terrifique de Shiva.
En route vers Dhulikhel. Son bouddha, son temple de Kali sur une colline du haut de laquelle la vue est censée être imprenable. Les nuages en auront décidé autrement!
Nous repassons devant l'énorme statue de Vishnu, on dépose Elliot à l'hôtel, un petit coup de fatigue! Séance de singing bowl avant de repartir sur Patan.
Patan, la statue du roi Yoganarendra Mala, l'oiseau est toujours posé sur le cobra, les éléphants ne sont pas allés boire à Manga Hiti.
Et toujours la corvée d'eau.
Le temple de Uma Maheshwar et sa très belle stèle noire sur laquelle Shiva et Parvati prennent la pose Uma Maheshwar, Shiva jambes croisées, Parvati langoureusement appuyée sur son épaule.
Le Temple de Kumbeshwar et ses cinq étages. Très actif.
Des queues interminables, des parapluies de toutes les couleurs.
Nous passons devant de vieux mégalithes, probablement les objets de culte les plus anciens de la vallée de Kathmandu. Les Bouddhas du Temple de Manjushri. Toujours les yeux de Bouddha. Pour arriver finalement au Temple d'Or, monastère bouddhiste du 12ème siècle.
Le Temple doit son nom aux multiples plaques dorées qui recouvrent sa façade. Quelques instants de méditation pour Didier et Oscar devant les nombreuses sculptures. Un éléphant garde la porte d'entrée.
Le principal prêtre du Temple est un jeune garçon de 12 ans qui sert durant 30 jours avant de laisser la place à un autre jeune garçon. A chaque angle, quatre singes portent un jacquier en offrande.
Nous continuons la découverte de la ville, croisons un boeuf, confortablement installé sur la place Naga Bahal, un naga peint, une statue de Sakyamuni, nom honorifique du Bouddha.
Le Pim Bahal Pokhari, grand bassin bordé par le Temple Chandeswari, un stupa vieux de 600 ans, la maison d'un maitre tantrique du 16ème siècle.
Déjeuner dans les jardins du musée national, puis petit tour au musée. Des pièces d'un raffinement rare, une des plus belles collections d'art religieux d'Asie.
Visite du Palais Royal, ...
..., derniers pas dans Patan pour retourner sur Kathmandu. Nous retrouvons Elliot.
Ni une ni deux, direction le jardin des rêves. Quel bonheur de se retrouver dans un lieu paisible, fleuri, beau, et de déguster un délicieux gâteau au chocolat!!!
En sortant, ENORME surprise!! Nous croisons Arnaud et Natacha qui viennent tout juste de s'installer au Népal voilà deux semaines!
Ni une ni deux, nous les embarquons avec nous pour notre dernier diner à la cantine.
Jeudi. C'est le départ, un dernier bisou aux zamis, et nous voilà dans les nuages, côté gauche de l'appareil afin de voler quelques clichés. Le toit du monde, qui lentement se fait dévoile, sous sa couverture de nuages. Quel spectacle!
