jeudi 19 décembre 2013

HAKUNA MATATA!

Jeudi. Joyeux anniversaire Bibiche!!! Cette année, nous passerons Noël en Tanzanie avec Béa. Première étape, Tan Son Nhat, l'aéroport de Ho Chi Minh Ville. Et comme pour ne pas faillir à la tradition, Oscar et moi nous délectons d'un foot massage! Divin pour être dans d'excellentes conditions de voyage.
Après avoir passé une nuit à l'aéroport de Doha, ....


..., vendredi. Nous voilà en route pour Dar Es Salam où nous retrouvons Béa. Kilimanjaro, un nom qui fait rêver, on pense à la montagne, mais on découvre que c'est non seulement le nom d'une eau, mais aussi celui d'une bière! Une petite heure d'avion jusqu'à Arusha où nous rencontrons Jackson, notre guide-chauffeur, qui s'avérera être un ornithologue hors pair.




Samedi. Après avoir passé une nuit à la fraicheur exquise dans un jardin d'Eden, nous retrouvons Jackson. En route pour le parc du Lac Manyara. 3 heures de route. 



Nous rencontrons quelques Maasai sur la route, habit traditionnel de rigueur.



Un baobab nous accueille à l'entrée du parc du lac Manyara. Un singe bleu très curieux nous regarde passer. Un dic dic, petite antilope, déjeune sur le bord de la piste. Notre premier éléphant. Nous piqueniquons avec une vue superbe sur le lac, véritable carte postale.



De jolis oiseaux essayent de grappiller quelques miettes. Une tortue traverse tranquillement la route. Des zèbres, une girafe, un guêpier, ...



..., et puis un phacochère, toute une famille de phacochères! Deux antilopes, deux girafes, et au loin des flamands roses!



Nous tombons sur une famille de vervets, qui ont la particularité d'avoir de jolis attributs bleus! Des zèbres, un troupeau d'éléphants.



Deux ouettes d'Egypte, un couple de choucador superbe, vraiment superbe avec ses couleurs vives! Un vanneau armé qui donne plutôt dans les gris! Les garçons, petits et grand, se régalent!



Nos premiers gnous! Un groupe de babouins, et ... des phacochères! Béa adorent les phacochères! Elle les trouve tout ce qu'il y a de plus laids!


Nous reprenons la route, avec quelques arrêts curiosités, pour finalement arriver au Bashay Rift Lodge, véritable havre de paix situé au sommet d'une colline.



Une vue imprenable sur la vallée, une piscine, un jardin pour faire des galipettes! Le bonheur en somme!



Dimanche. Réveil avec le chant des tisserins jaunes. Nous prenons la piste, direction le lac Eyasi, afin de visiter la tribu des Hadzabes, bushmen qui pratiquent le "click language". Les mêmes que ceux du film "Les dieux sont tombés sur la tête".


Une petite musique nous accueille. Elliot, Oscar et Bibiche s'essayent à faire du feu avec un baton. Et ça marche!



Une grotte fait office de cuisine. Oscar rentre dans une hute. Pas de nattes par terre, ils dorment à même le sol. Les femmes font des bijoux gris-gris avec des perles, des os de porc-epic, .... Les trophées de chasse trônent sur un arbre, telles des boules de Noël!



Nous accompagnons les Hadzabes à la chasse. Un enfant lance une pierre dans un baobab et en fait tomber un fruit que nous dégustons. Béa essaye une protection solaire 100% naturelle! Un chasseur vient d'attraper une grive.



Ils viennent de trouver une ruche. A même les mains, ils en ressortent le miel. Un véritable délice! La même technique pour faire un feu. L'oiseau est cuit tel quel. Seules les grandes plumes, plantées dans les cheveux, serviront de trophée ou seront utilisées dans la fabrication de nouvelles flèches. 



Une fois cuit, l'oiseau est partagé. Les enfants, les chiens, même nous. Tout le monde y a droit. Une telle simplicité, une fusion avec la nature ne laisse pas indifférent. Une remise en question. Un grand doute quant à notre mode de vie. Qui a raison en fait? Les observant, j'en viens même à me demander s'ils connaissent l'argent. Le chef, oui, pour acheter les perles au marché.



Nous repartons, suivant le lit de la rivière. Un trou est creusé. De l'eau. Ils boivent. Nous croisons un troupeau de chèvres, appartenant à des Datogas, une autre tribu vivant de l'élevage et du travail du métal.



Retour au village. Séance de tir à l'arc pour les uns, leçon de musique pour d'autres.





Nous nous rendons chez les Datogas. Les femmes nous accueillent. Elles portent leurs habits traditionnels: jupe de cuir, bracelets et colliers en perles et en laiton.



Les femmes sont en train de faire de la farine de maïs. 



Intérieur de maison, avec cuisine et chambre. Ils dorment sur un sommier de branches recouvert d'une peau de bête. Puis nous nous dirigeons vers "l'usine" où des hommes recyclent de vieilles casseroles et s'affairent à les faire fondre afin de les transformer en bracelet ou en flèche.





Nous passons devant des greniers à oignons rouges. Une délicieuses odeur flotte dans l'air. Ces oignons sont exporté dans une grande partie de l'Afrique.



Nous reprenons la route, direction l'hôtel, ...



..., où une séance de délicieux larvage nous y attend!



Quelques oiseaux nous tiennent compagnie.



Lundi. Nous partons pour le Ngorongoro, célèbre cratère (caldera), aux dimensions impressionnantes. Une plaine de 20 km de diamètre qui abrite une faune protégée par un rempart de 600m de hauteur couvert de forêt.





Deux pistes descendent dans la caldera. Un arbre abritant plusieurs nids fait encore penser à un sapin de Noël. Un aigle guète. Des Maasai font paitre leur troupeau côtoyant des zèbres.



Notre premier big five: le buffle! Puis le second: une lionne, repue, qui vient de petit-dejeuner! Le lion, lui, se repose à l'ombre des arbres. Des gnous. Une gazelle de Thomson. Un marabou. Un secrétaire. Une grue royale. On ne sait plus où donner de la tête!



Des phacochères qui trempent, des autruches très curieuses nous regardent passer de leur air hautain. 



Une outarde kori traverse tranquillement la piste. Un ibis. Un pintade, la même qu'en Afrique du Sud. Un phacochère nous tourne gentiment les talons. Un vieil éléphant patauge. Troisième big five.



Par cibi, on nous indique un rhinocéros! Nous mettrons plus de 2 heures à le trouver. A plusieurs centaines de mètres de la piste, nous le localisons grâce à la persévérance et aux yeux expérimentés de Jackson. Ils seront deux en fait à ronfler. Et de quatre big five! Une lionne vient de terminer son repas. Un vautour attend son tour.



Nous reprenons la piste. Un dernier regard sur la caldera. Puis en route vers la camp d'Olduvai. Sur la piste nous croisons quelques girafes, un chacal et ses grandes oreilles, quelques Maasai.



Balade autour du camp accompagnés de Maasai. Chaussure tout terrain assuré! Les enfants se dégourdissent! Le ciel se pare de ses plus belles couleurs mettant fin à une journée magique.



Mardi. Réveil aux horreurs. Béa nous attend devant sa tente. Bibiche nous refait un remake de Titanic. "Je suis le maître du monde", ça ne vous rappelle rien? Petite balade de mise en bouche en compagnie de Maasai. Quelques girafes se délectent, des vautours s'affairent autour d'une carcasse.



Apprendre à reconnaitre les traces des animaux... Nous arriverons à identifier celles des Maasai!!



Les gorges d'Olduvai, un site paléoanthropologique de référence qui a permis de comprendre l'évolution des premiers hommes. Un silence précieux. Des couleurs étincelantes de début de journée. Un bousier roule sa bille. La balade s'achève, les Maasai repartent.



Petit-déjeuner dans la bonne humeur. Puis nous quittons ce lieu paradisiaque pour de nouvelles aventures dans le Serengeti, immense parc de 14.000 km2.




Nous assistons à la migration des gnous et des zèbres. Chaque années, ils sont plus de 2 millions à migrer du Kenya vers les plaines du Serengeti afin d'y mettre bas. Ils suivent la pluie, et en avril, ils remontent vers le Kenya. Ils se déplacent en groupe en file indienne et sont donc moins vulnérables face aux prédateurs. Ces files peuvent atteindre jusqu'à 40 km de longueur!



Des  lézards Agama Mwanzae rose et violet, une girafe, une hyène, un choucador superbe en comité d'accueil.



Une famille d'éléphants se baigne. Un intrus en forme d'hippopotame a vite fait d'être repéré et chassé manu-militari.



Un impala imprudent rode au pied d'un gros rocher sur lequel ronfle tranquillement un lion!



Et puis, après des années de recherche infructueuse au Sri Lanka et en Afrique du Sud, le dernier des big five: le léopard! Se prélassant dans un arbre, la queue tombante, la tête bien coincée entre les branches, il est là, au dessus de nos têtes. Hormis quelques voitures en guise d'indice, nous aurions pu passer mille fois en dessous sans le voir, seul un oeil averti est capable de le dénicher!



Puis nous assistons à une scène incroyable. Au loin, un phacochère. Sur la gauche une lionne. A droite, une autre. Une troisième frôle la voiture et passe, toutes oreilles baissées. Une quatrième arrive. Puis une cinquième. Et une sixième. Formant un cercle autour du pauvre phacochère qui commence à sentir le danger. Les lionnes se regardent. Se comprennent. L'intelligence de leur regard. Mais c'est qu'il est malin le phacochère. On comprend pourquoi Béa les a-d-o-r-e!! Il s'en va. Ouf! Sauvé pour cette fois-ci.



La chasse est terminée. Les lionnes vont boire là où quelques instants plus tôt, leur proie était. Puis quelques centaines de mètres plus loin, un lion, les pattes en l'air, se repose en attendant un hypothétique festin qui ne viendra pas encore!



Des hippopotames, des mangoustes, un scarabée aux dimensions hors normes serons le décor de notre pique nique.



Visite du centre d'information du Serengeti. La mise en garde sur la fragilité de cet écho système. 



Nous repartons en quête de nouvelles découvertes. Confirmation: les attributs du singe velvet sont bien bleus!



Et puis au loin, très très loin dans un arbre, se cache un léopard. Démasqué grâce à la cibi de Jackson.



Un crocodile caché entre les cailloux, des marabouts se perchent en haut des arbres, les hippopotames baillent. Il est temps pour nous d'aller au Ronjo camp.



Le Ronjo camp. Camp semi-permanent de 12 tentes. Un arbre à collier. Un sapin de Noël. Un immense samovar. Un calao à bec rouge. Des pièges à mouche tse-tse.


Mercredi. Joyeux Noël! Jackson nous apprend quelques mots de swahili. 


Tembo: éléphant
Simba: lion
Mbogo: buffle
Chui: léopard
Duma: guépard
Twiga: girafe
Kiboko: hippopotame
Swala: antilope
Kifaru: rhinocéros
Rafiki: ami
Babu: grand-père (ça c'est pour Bibiche qui l'entendra plusieurs fois!)
Yoko mbali: au loin


Nous partons à la piscine des hippopotames. Nous croisons quelques phacochères au plus grand bonheur de Béa! Twiga yuko mbali! (une girafe au loin!)



Des dizaines d'hippopotames ronflent au milieu de quelques crocodiles. Ca baille, ça glougloutte. 



Ca grogne, ça se fait nettoyer par les oiseaux sous l'oeil attentif des crocodiles.



Oscar improvise un zoom avec les jumelles.



Des voitures. Un lion ronfle dans un arbre, et puis plus loin, deux guépards! Superbes!



Un peu plus loin, encore un lion, encore un léopard, encore un crocodile. Des gnous et beaucoup de poussières.





Retour au camp où un troupeau d'éléphants a la bonne idée de venir y faire un tour, ce qui ne rassure personne.



Jeudi. Surprise!! Le camp est tout tourneboulé, les éléphants se sont régalés des petites branches toutes tendres du camp! Nous quittons cet endroit magique au milieu de la jungle.



Préparation pour la journée!



Très vite nous apercevons un groupe de lionnes. L'exemple même de la nonchalance.



Une petite bête se cache dans une termitière. Un marabout nous bloque la piste. Une pintade se balade, suivie de près par un secrétaire.



Puis un autre groupe de lionnes. Ca ronfle, dehors comme dans la voiture.



Dernier tour dans le parc avant de reprendre la piste, quand ...



..., surprise!! Nous croisons une famille de lions qui suit la piste. Deux lionnes. Trois lionceaux. Suivis de près par le lion. Fantastique! Nous étions justement en train de dire à Jackson que nous aurions bien aimé voir des lionceaux ...



Puis, tranquille en haut d'une colline, un guépard. Une cigogne, des hyènes, des gnous continuant leur route vers le sud.



Nous ressortons du parc. Partie acharnée de UNO lors du pique nique sous le regard curieux d'un lézard Agama Mwanzae. Superbe vue sur la caldera.



Nous croisons des dromadaires! Dernier regard sur le Ngorongoro.



Nous retrouvons le Bashay Rift Lodge avec un grand plaisir, ses fleurs, sa piscine!



Vendredi. Nous reprenons la route en direction du parc de Tarangire. 




Vue superbe sur le lac Manyara.




Visite d'un village Maasai. Nous sommes accueillis par le fils du chef. Puis c'est la danse de bienvenue. Les hommes sautent sous les rires des femmes.



Puis vient le tour de Elliot et de Oscar. Main dans la main avec les Maasai, Béa et moi nous agitons tant bien que mal.



Notre guide nous invite à visiter sa maison. Faite de torchis, elle est composée d'une pièce centrale qui fait office de cuisine, de deux chambres lits séparées par une cloison de branches. Il s'avère que le chef du village  a 16 femmes et 45 enfants. Notre guide est dans les quarantièmes. Le chef a plusieurs autres villages comme celui-ci. Chaque village est composé d'une même famille!



Nous visitons une autre maison: l'école. Un enclos central fait d'acacia pour y mettre le bétail autour duquel sont alignées les maisons. 



Quelques photos très colorées, puis il est temps de se mettre en route.



Entre deux petites pauses, nous apercevons des arbres à ruches qui pendent telles des boules de Noël.



Puis nous arrivons au parc du Tarangire, très renommé pour ses colonies d'éléphants. Nous sommes en saison sèche. La plupart des félins sont en dehors du parc afin de trouver de l'eau. 



Un éléphant très content traverse la piste. Tiens un phacochère!




Très fier, un calao de Decken se promène tandis que des starlings se prennent un bain.



Des baobabs sous lesquels se repose un cobe defassa. De la poussière sur la piste. Un phacochère rentre à la maison. Quelques mouches tse-tse nous accompagnent!



Nous arrivons au Maweninga camp. Une vue  couper le souffle qui surplombe la plaine. Des tentes ultra confortables, le bonheur à l'état sauvage.







Samedi. Après une bonne nuit réparatrice, nous repartons pour une nouvelle journée.



Sur la route, nous aurons la chance de croiser un groupe de lionnes, encore endormies! Un bébé girafon! Nous quittons le parc, la tête pleine de belles images.





Dernier repas avec Jackson dans un jardin idyllique, ...



..., avant de prendre l'avion, direction Zanzibar. Une chance inouïe: nous apercevons le Kilimanjaro!



Un hôtel en bord de mer. Une mer d'une couleur turquoise, un silence absolu, un havre de paix duquel on ne veut plus bouger!



Dimanche. Grasse matinée enfin! Journée à larver sur les chaises longues, à bouquiner, à ne rien faire! Les enfants ont trouvé des copains Maasai pour faire une partie de foot sur la plage. Des femmes au loin, glanent des algues qui serviront pour la cosmétique.



Prenant notre courage à deux mains, nous allons faire un balade sur la plage. Un sable blanc. Des pêcheurs rentrent, un box fish en guise de trophée.





Un camaïeu de bleu! On en a plein la tête! Une journée dans du blanc et bleu!



A la vitesse d'une barque, la journée s'achève aussi tranquillement qu'elle avait commencé.



Lundi. Départ pour une journée de snorkeling à la recherche de dauphins. 



Du bleu de partout.



N'y tenant plus, un plouf s'est vite imposé, et puis tant pis pour les dauphins.



Petite balade dans la forêt de Jozani afin de voir les colobus rouges, singes endémiques à Zanzibar.



Visite d'un sanctuaire de tortues au milieu de la mangrove. 



Retour à l'hôtel. Partie de foot endiablée pour les uns. Débordés, les doigts de pieds en éventail pour les autres.



Mardi. Une dernière partie de foot sur la plage, puis nous quittons the Queen of Sheba, havre de paix dans un océan turquoise pour Stone town, ville principale de l'ile de Zanzibar.



The house of spices. Charmant petit hôtel en plein centre de la vieille ville. Encore du bleu! Rien que pour nous!



Nous errons au gré des rues pour arriver sur la plage, juste à temps pour le coucher du soleil.



Mercredi. Stone town, the lost city renommée pour ses portes de bois sculptées. Il y en a plus de 500 dans la vieille ville qui, pour certaines, sont plus vieilles que les maisons elles mêmes. Elles sont symboles de fortune et désigne le statut des propriétaires. Les vieilles portes de style arabique sont de forme carrées et géométriques. Les plus récentes sont d'influence indienne et souvent en demi-cercle avec des décorations florales. Certaines portes arborent des passages du coran. D'autres ont des énormes clous en cuivre, fidèle à la tradition indienne dont la fonction était de protéger la maison des éléphants.








Notre balade nous amène au Old Dispensary, élégante architecture aux influences indiennes.



Visite du Beit El-Sahel, le Palace museum, ancienne résidence des sultans jusqu'en 1964.



Ne pouvant visiter le Beit El-Ajaib, house of wonders, pour cause de décrépitude avancée du bâtiment, nous nous dirigeons vers le vieux fort.



Après plusieurs essais infructueux, nous arrivons enfin à trouver la cathédrale Saint-Joseph.



Nous arrivons tant bien que mal aux bains perses Hamamni, premiers bains publics de Zanzibar construits par la Sultan Barghash à la fin du XIXème siècle. Après avoir demandé la clé au gardien, nous voilà dans un monde d'un autre siècle. Les bains comprenaient plusieurs salles, avec bains chauds ou froids, toilettes, salles pour le rasage et un restaurant. Un système ingénieux d'aqueduc apportait l'eau aux différentes salles.





Nous passons par le marché aux esclaves où seules quelques cellules demeurent. On imagine la promiscuité, impossible de se tenir debout, une chaleur suffocante, ...



Petit tour au marché. Nous arrivons pour une mise aux enchères du poisson fraichement débarqué.






Elliot troque ses chaussures contre d'autres tout-terrain! Vue sur les toits de la vieille ville.



Jeudi. Journée libre. Nous déambulons au hasard des rues. 






Elliot et Oscar s'initient au jeu national: le bao, ...



..., pendant que Béa et moi faisons les boutiques sous l'oeil blasé de Bibiche et de Oscar.



Nous tombons sur la boulangerie de la ville. Au feu de bois, une délicieuse odeur de pain!



Quelques sauteurs se lancent. A qui fera le plus beau saut entrainé par les spectateurs.



Nous terminons la journée dans les jardins Forodhani où nous dégustons la spécialité locale: la pizza de Zanzibar!



Vendredi. Nous quittons Zanzibar. Nous prenons un avion minuscule!



Vingt minutes de vol au dessus d'une mer turquoise pour finalement arriver à la grande ville, Dar Es Salam.



Balade dans la ville. Le monument Askari qui se résume en une statue de bronze dédiée aux africains tués durant la première guerre mondiale. Le jardin botanique. Le musée national. L'hôpital de la route de l'océan dans lequel Robert Koch mena les premières recherches sur la malaria.



Le marché aux poissons. Une route en plein soleil, bordé de rebouteux en tout genre.



Quelques bâtiments officiels. La maison de la mission du Père Blanc. La cathédrale Saint Joseph. Il fait une chaleur terrible. Nous sommes à la recherche du moindre petit coin d'ombre.



Nous continuons notre marche. Pause bien méritée dans un café.



Dernier petit tour au marché. 



Vue panoramique depuis notre hôtel.



Puis nous repartons sur Ho CHi Minh Ville, avec toujours une nuit à l'aéroport de Doha!


Quel merveilleux voyage!!!